terça-feira, 31 de julho de 2007

Im loosing the balance



( photo by Gary John Norman )





The winter is coming and
my depression is coming back and im feeling alone another time

I dont have shoulders over i can not cry
Im not more resistent as before

Im loosing my balance......

segunda-feira, 30 de julho de 2007

Breath


( Photo by Rob Sheridan )


Music by Sigur Ròs ,Untitled 3


Written by FF:L

One man meet another man in the street.
Rain and the man ask to another man if want divide with him his umbrella.

The first man say:
" Can I help you`? Take place with me under the umbrella, you need "

The second man say:
"I need One moon segment,
a full all stars sky,
a fresh breath of wind,
the noises of the evening,
the road bathed from the falling rain,
the cold that chases,
The hush of the forest "

The first man dont undestain and ask :

" What you lacks ? I kan give you it"

The second man say:
" Nothing ,because I met the peace "





Un uomo incontra un altro uomo nella strada
Piove e l`uomo chiede all`altro uomo se vuole dividere con lui il suo ombrello

Il primo uomo chiede:
" Posso aiuarti?Prendi posto con me sotto l`ombrello,ne hai bisogno"

Il secondo uomo risponde:
Ho bisogno di
uno spicchio di luna,
un cielo stellato,
un fresco alito di vento
i rumori della sera
La strada bagnata dalla pioggia cadente
il freddo che incalza
il silenzio del bosco



Il primo uomo non capisce e chiede nuovamente:
"Cosa vi manca?Io posso dartelo"

Il secondo uomo risponde dicendo:
"Niente, perche`ho incontrato la pace"






.
.

The silence of the forest....



( photo by Ondrea Barbe)

quarta-feira, 18 de julho de 2007

Vive L`amour ,le premiere amour ,le vrai amour




(Photo by Jonnie Miles)


Ode à beauté angélique!
à ses boucles blondes de bébé ( ce n`e`pas vrai)

Une fille différente qu'on aurait laisser sur Terre, seule à chercher celle.
J'ai été tellement conne de refuser toute cette tendresse qu'elle pouvait m'apporter.
On pourrait presque dire, en renonçant à la réalité des faîts, ce don de soi. Mais pourtant, elle n'est pas aussi fragile et tendre à l'intèrieur.
Son physique ne laisse pas présager une goutte de son caractère. Comme si elle voulait nous sortir de la torpeur, elle est énergique, vitale. Elle déborde d'humour et de vie. Je ne ferai pas de description de 600 pages sur elle comme l'a si bien fait Santiago H. Amigorena dans son livre le premier amour.
Je me plait à la conserver en mémoire, comme une petite fée souriante et remuante dans un cadre de pensée (dicit : image de journal dans Harry Potter).
Loin de tout souvenir, loin du papier et des mots qui ne la décrivent jamais comme elle est, loin de toute mauvaise retranscription de ma plume.
Elle se dessine dans ma tête comme je la découvrais en Italie, ado/adulte raccoleuse, dans le mauvais sens, à contre courant.
Je me relis, remarque que je me plait à créer de belles attirances sur de si petits faîts au final.
Elle me marque dans tout ce qu'elle fait même si elle ne se prête pas à de si grotesques exagérations :
Amourette un jour avant de repartir d'Italie, histoire d'un soir avec sa copine bi ("bah quoi, t'es homophobe ?"), coma éthilique en début de soirée..
Elle est plus fort encore que moi sous ses apparences de petite fille sage.
Elle fume occasionnellement.
Elle boit plus que de raison en soirée.
Elle a toujours le sourire, même dans les moments les plus difficiles (Elle et moi. Son sourire, son merveilleux sourire qui sècherait toutes les larmes.)

En même temps, c'est si compliqué avec une fille. Elle te fait des avances, tu recules. Elle part au moment où tu comprends que tu la veux, où tu remarques quelle fille géniale elle est. Et c'est trop tard. Toujours.

Et cette timidité à la con qui nous laisse seulement des goûts d'amitié partagée dans la bouche.
Ailleurs que sous les cils, on trouve des fragments d'attirances. Partout. Sur la bouche, au creux des reins, sous le ventre et le coeur.
Un peu partout en fait.
Et je ne l'oublie pas.


(http://www.evene.fr/livres/livre/santiago-h-amigorena-le-premier-amour-11238.php)

quinta-feira, 12 de julho de 2007

Coming the winter ....


* photo by Monte Nagler*




Blow, blow, thou winter wind.
Thou art not so unkind
As man’s ingratitude;
Thy tooth is not so keen,
Because thou art not seen,
Although thy breath be rude.
Heigh-ho! sing, heigh-ho! unto the green holly:
Most friendship is feigning, most loving mere folly:
Then, heigh-ho, the holly!
This life is most jolly.
Freeze, freeze, thou bitter sky,
That dost not bite so nigh
As benefits forgot:
Though thou the waters warp,
Thy sting is not so sharp
As friend remember’d not.
Heigh-ho! sing, &c.



*Act II, Scene 7 from As You Like It by William Shakespeare (1600) *