quarta-feira, 18 de julho de 2007

Vive L`amour ,le premiere amour ,le vrai amour




(Photo by Jonnie Miles)


Ode à beauté angélique!
à ses boucles blondes de bébé ( ce n`e`pas vrai)

Une fille différente qu'on aurait laisser sur Terre, seule à chercher celle.
J'ai été tellement conne de refuser toute cette tendresse qu'elle pouvait m'apporter.
On pourrait presque dire, en renonçant à la réalité des faîts, ce don de soi. Mais pourtant, elle n'est pas aussi fragile et tendre à l'intèrieur.
Son physique ne laisse pas présager une goutte de son caractère. Comme si elle voulait nous sortir de la torpeur, elle est énergique, vitale. Elle déborde d'humour et de vie. Je ne ferai pas de description de 600 pages sur elle comme l'a si bien fait Santiago H. Amigorena dans son livre le premier amour.
Je me plait à la conserver en mémoire, comme une petite fée souriante et remuante dans un cadre de pensée (dicit : image de journal dans Harry Potter).
Loin de tout souvenir, loin du papier et des mots qui ne la décrivent jamais comme elle est, loin de toute mauvaise retranscription de ma plume.
Elle se dessine dans ma tête comme je la découvrais en Italie, ado/adulte raccoleuse, dans le mauvais sens, à contre courant.
Je me relis, remarque que je me plait à créer de belles attirances sur de si petits faîts au final.
Elle me marque dans tout ce qu'elle fait même si elle ne se prête pas à de si grotesques exagérations :
Amourette un jour avant de repartir d'Italie, histoire d'un soir avec sa copine bi ("bah quoi, t'es homophobe ?"), coma éthilique en début de soirée..
Elle est plus fort encore que moi sous ses apparences de petite fille sage.
Elle fume occasionnellement.
Elle boit plus que de raison en soirée.
Elle a toujours le sourire, même dans les moments les plus difficiles (Elle et moi. Son sourire, son merveilleux sourire qui sècherait toutes les larmes.)

En même temps, c'est si compliqué avec une fille. Elle te fait des avances, tu recules. Elle part au moment où tu comprends que tu la veux, où tu remarques quelle fille géniale elle est. Et c'est trop tard. Toujours.

Et cette timidité à la con qui nous laisse seulement des goûts d'amitié partagée dans la bouche.
Ailleurs que sous les cils, on trouve des fragments d'attirances. Partout. Sur la bouche, au creux des reins, sous le ventre et le coeur.
Un peu partout en fait.
Et je ne l'oublie pas.


(http://www.evene.fr/livres/livre/santiago-h-amigorena-le-premier-amour-11238.php)

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