terça-feira, 22 de fevereiro de 2011

le souvenir d'une photo, une belle journée de seules, en tour pour les routes pour livres.
Un souvenir d'un instant tres beau qui se répète à l'infini.
On espère toujours le pouvoir vivre cet instant. Je respire, baise, une caresse, en s'effleurant et en se serrant, assis dans un banc, en vivant un instant précieux. on cherche ce qu'on désire et je l'effleure de deux labbra adultes qu'on cherche directement, sans résultats, sans peurs, en créant un quelque chose, un instant.
Le souvenir d'une voix chaude et adulte et tranquille qui serre et d'une accarenza, en vivant dans cela j'embrasse et en résultant étranger à n'importe quel chose qui entoure ce mètre cube formé de deux personnes qui se serrent publiquement sans aucune crainte perche' ; ils font la chose normale.Deux faces et deux figures qu'on cherche et se montrent publiquement, tentent de vouloir quelque chose. Une illusion qui persiste mais qu'ensuite il disparaît portée du vent froid. Qui réussit à résister à cette illusion connaît le verita' ; , ce jour e' ; état unique et irripetibile. Nous sera' ; un autre ainsi dans la vie ?


( Ispiration Valerio Vigliar- Armilla )

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