terça-feira, 30 de janeiro de 2007


La vérité é aussi dure à accepter. Je ne m'aime pas lui. Je ne peau pas aime jamais. Je n aime pas joue de silences et d'absences. D'indifférence.
Cause perdue au milieu d'infinie possibilité. Pourquoi rester et souffrir plus encore ? Pourquoi attendre ? L'attendre.

Je ne veux plus de leurs fêtes, de leurs "tu veux une histoire d'un soir ?".
Folle amoureuse d'aimer. L'aimer lui ? Peut-être. Il est temps de s'avouer que ce que j'aime chez lui, c'est la possibilité d'une île, comme je disais ailleurs.
Cette bouée que j'avouais à 6h du matin.
Je le considère peut-être ,je ne suis plus sure de rien ce soir.
Le gars sur lequel on se jette quand plus personne ne nous ouvre les bras, quand on se lasse du monde, quand on cherche à s'oublier un peu et à se consacrer à une histoire d'amour.
On construit notre histoire de nos maux.
Nous vivons, nous racontons notre vie comme un roman. Il n'y a rien de plus faux qu'une histoire qui débute sur des histoires débiles de neige, de magie à deux balles et de hasard au coin de la rue.
Si je t'ai croisé à ce carrefour, c'est parce qu'en allant à la médiathèque, j'espèrais veinement te croiser, car je sais que tu y vas souvent. Voilà..

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